Comprendre la haine et la jalousie

  • Home
  • Comprendre la haine et la jalousie
Shape

_____________________________________________

Par Jean Miguelite Maximé

Comprendre la haine et la jalousie

_____________________________________________

Par Jean Miguelite Maximé

Introduction

Miguelite 12-03 copy
Miguelite 12 copy
Miguelite 8jpg
Miguelite 12-2 copy
Miguelite 3 copy
previous arrow
next arrow

Sous tous les cieux, l’homme a un instinct grégaire et moutonnier. Il a une force psychique innée, puissante et spontanée qui le porte à vouloir se grouper et évoluer avec les autres. Cette tendance est bien antérieure à l’espèce humaine. En effet, Morin (2004) pense que les sources de cette propension à se mettre ensemble sont également naturelles dans le sens où elles sont antérieures à l’humanité. Il estime que le principe de l’inclusion est inscrit dans l’auto-socio-organisation de l’individu. Il en veut pour preuve que les sociétés mammifères sont à la fois rivalitaires et surtout communautaires.

Cependant, une fois ensemble, en tout, chacun veut tirer le meilleur parti, chacun veut être mieux loti que l’autre. Ainsi, l’homme devient un loup pour l’homme, l’homme devient le pire ennemi de son semblable. D’ailleurs l’anthropologie pessimiste de Hobbes repose sur l’idée que l’homme est naturellement égoïste et mauvais. Il en résulte un souci constant de comparaison avec l’autre pour mieux se situer par rapport à l’autre dans des domaines divers. Partout dans le monde, dans les familles, il est courant que des enfants et même des adultes aient des conflits causés par la haine et la jalousie. Selon Ariane Hébert de Boite@psy dans l’article titré dans la jalousie entre fratrie, des donnés américaines de (Strauss et al., 1980) indiquent que 82 % des enfants âgés de 3 à 17 ans ont eu recours à la violence physique envers un ou plusieurs membres de leur fratrie.[1] Ce sont les résultats d’une étude pour un pays.

Mais la tendance de l’homme à se comparer aux autres est un phénomène profondément enraciné dans la nature humaine et a des implications significatives pour les individus et la société. C’est de cette comparaison que sont nées l’envie, la jalousie et la haine. Ce sont des thèmes récurrents dans l’histoire. Elles s’accompagnent parfois de conséquences tragiques, comme des actes fratricides par exemple.

Pour comprendre ces émotions, nous ferons une clarification conceptuelle en nous servant comme illustration certains faits survenus au cours de l’histoire du monde. Ensuite, nous mettrons en lumière certaines causes de l’envie, de la jalousie et de la haine en soulignant les aspects positifs et négatifs par souci d’un certain équilibre, puis, ramener l’étude sur Haïti à travers certains auteurs et conclure par la nécessité de développer un art de vivre basé sur le respect de soi et des autres, l’harmonie, la solidarité et les valeurs de la morale chrétienne.

Clarification conceptuelle

L’envie, la haine et la jalousie sont des émotions complexes et destructrices avec des sentiments négatifs, profondément ancrés dans la nature humaine. Elles ont souvent été à l’origine de conflits, de tragédies et de souffrances. Saint Thomas d’Aquin définissait l’envie comme « la tristesse ressentie face à la possession par autrui d’un bien, et la volonté de se l’approprier par tout moyen et à tout prix ». Pour Rousseau, l’envie est née de la comparaison sociale et de l’aspiration à une position supérieure.

Le Petit Robert lie la jalousie et l’envie suivant une relation de similitude de sens. Les deux peuvent s’entendre comme le sentiment de désir mêlé d’irritation, de dépit qu’éprouve quelqu’un contre la personne qui possède ce qu’il n’a pas. Elles s’entendent aussi comme un sentiment hostile qu’on éprouve en voyant un autre jouir d’un avantage qu’on ne possède pas ou qu’on désirerait posséder seul.

Joubert (2006) estime que la jalousie et l’envie font partie du fonctionnement psychique. Elles structurent l’individu et sont à la base de l’identité. La rivalité jalouse est à l’origine du lien social et l’envie permet les élans vers l’accès à la sublimation.[2]

M. Klein définit le terme envie en 1924, comme

 « Un sentiment primaire inconscient d’avidité à l’égard d’un objet que l’on veut détruire ou endommager. Elle apparaît dès la naissance et elle est dirigée d’abord vers le sein de la mère » puis vers le ventre maternel. « Dans la position paranoïde – schizoïde ou dépressive, l’envie attaque le bon objet pour en faire un mauvais objet, produisant ainsi un état de confusion psychotique. »[3]

Freud a largement étudié la jalousie, la considérant comme une réaction normale à la perte d’un objet d’amour. Cependant, il a également souligné que la jalousie pouvait prendre des formes pathologiques et conduire à des comportements destructeurs. Freud analysait peut-être le sentiment liant deux personnes sur une base d’érotisme.

Angel (2005) reste dans le cercle familial en pensant que l’arrivée d’un frère ou d’une sœur dans la famille contribue à l’éclosion de la jalousie, premier mouvement émotionnel que l’on peut repérer dans la petite enfance. Vanni (2023) semble vouloir s’approcher de Freud en disant que la jalousie s’entend aussi comme un amour mêlé de haine. C’est un sentiment complexe qui mêle amour, possessivité et peur de la perte. Elle naît souvent d’une relation affective et se manifeste par une méfiance envers un tiers perçu comme une menace.[4]

Caroline Michel semble vouloir étendre cette sensation de jalousie à tout le monde. Dans Jalousie en amitié, elle affirme : « une autre forme de jalousie existe, celle qui rime avec envie (je suis jaloux de ta vie, de ta réussite, de ton charisme…). Qui, à force de fréquenter une personne et d’observer son univers, n’a pas ressenti une once de jalousie pour son mode de vie, ou même ses biens matériels, jusqu’à les convoiter ? »[5]

La jalousie s’entend aussi comme un amour mêlé de haine. C’est un sentiment complexe qui mêle amour, possessivité et peur de la perte. Elle naît souvent d’une relation affective et se manifeste par une méfiance envers un tiers perçu comme une menace.

La haine est une émotion destructrice.Elle est intense et négative, elle pousse à rejeter et à vouloir détruire un individu ou un groupe. Elle peut être motivée par des facteurs d’ordre idéologique, religieux, racial ou simplement par une rancune personnelle. Cette dernière tendance est très courante.

Ces trois émotions sont intimement liées. L’envie peut dégénérer en jalousie si l’objet du désir est une personne. La jalousie, à son tour, peut conduire à la haine si elle n’est pas maîtrisée. Ces émotions s’illustrent par des faits qui ont marqué l’histoire de l’humanité. Nous en mentionnerons quelques-uns.

Jalousie et crime

Ici, la jalousie que nous privilégions est celle qui existe entre les membres d’une fratrie et celle qui existe entre amis-es. La Bible, le livre le plus lu et étudié à travers le monde, relate le premier cas où la jalousie et la haine entre frères ont entrainé la mort.  En effet, l’histoire de Caïn et Abel retracée dans le livre de la Genèse au chapitre 4, est révélatrice de la jalousie et de la méchanceté des hommes à partir d’un choix qui a rendu l’un des deux frères mécontents au point de vouloir la mort de l’autre.  Caïn, laboureur, tua son petit frère Abel, lui-même berger parce que le choix de L’Éternel porta un regard favorable sur Abel et son offrande. Cela allait être le casus belli du premier crime de l’histoire de l’humanité perpétré par l’homme qu’Ève a cru avoir formé avec l’aide de l’Éternel.

L’histoire de Joseph et ses frères dans le livre de la Genèse au chapitre 37 est un autre exemple de jalousie fratricide. Les frères de Joseph, jaloux de l’amour que leur père lui portait, ont comploté pour le tuer, mais ont finalement décidé de le vendre comme esclave.

Dans la mythologie romaine, Romulus et Remus sont les fondateurs légendaires de Rome. La jalousie et la rivalité entre les deux frères ont conduit Romulus à tuer Remus pour devenir le seul dirigeant de la nouvelle cité.

En Macédoine, la mort prématurée de Philippe III a souvent été attribuée à des manœuvres politiques de son frère Alexandre.

Dans trois de ces cas, il y a mort d’homme, la jalousie peut donc être liée à des causes spécifiques pouvant parfois entrainer la mort.

Des causes de jalousie

La jalousie est associée à des anti-valeurs relatives à la famille, au pouvoir, à l’amitié, etc.

La jalousie fraternelle est souvent liée à :

  • La compétition pour l’amour parental : Les enfants peuvent se sentir en compétition pour l’affection de leurs parents, ce qui peut générer des sentiments de ressentiment et de jalousie.
  • La lutte pour le pouvoir : Dans les familles royales ou dans des contextes où l’héritage est important, la compétition pour le pouvoir peut conduire à la jalousie et des actes de violence.
  • Des personnalités différentes : Des personnalités très différentes peuvent créer des tensions au sein d’une fratrie, notamment si un enfant est perçu comme étant favori.

Effets positifs

La jalousie est plutôt perçue comme une anti-valeur. Mais dans certains cas, elle peut avoir des effets positifs. La comparaison sociale n’est pas toujours négative. Elle peut avoir des effets bénéfiques, tels que :

  •   Motivation : Comparer ses performances à celles des autres peut encourager les individus à s’améliorer et à atteindre leurs objectifs.
  •   Apprentissage : Observer les succès et les échecs des autres peut fournir des leçons précieuses et des stratégies pour réussir.

Effets négatifs

Cependant, la comparaison sociale peut aussi avoir des effets néfastes :

  •   Diminution de l’estime de soi : se comparer défavorablement aux autres peut conduire à un sentiment d’infériorité et à une baisse de l’estime de soi.
  •   Rivalité et conflit : La comparaison peut engendrer de la jalousie, de l’envie et des conflits interpersonnels.
  •   Stress et anxiété : La pression de se conformer à des normes sociales ou de réussir comme les autres peut être source de stress et d’anxiété.

En Psychologie Sociale, la théorie de la comparaison sociale, développée par Leon Festinger, suggère que les individus se comparent aux autres pour évaluer leurs propres capacités et opinions.

Morère (1979) estime que des sentiments tels que l’amour ou la haine, l’estime ou le mépris, la joie ou la mélancolie sont fonction de la place que l’individu occupe dans la société. Ils ne sont pas choisis, ils résultent de circonstances.

Des cas de haine et de jalousie peuvent exister et de fait existent entre amis-es, camarades de classe, de promotion ou jeunes d’une même génération.  Si l’un a réussi et l’autre ne l’est pas, si l’un est très capé et l’autre a connu très tôt le décrochage scolaire, si l’un a du foin dans les bottes et l’autre fauché. S’agissant des femmes, si l’une s’est mariée, vit dans sa propre maison, a pu enfanter et l’autre n’a rien de tout cela, on est presqu’en face d’une amitié impossible. Entre deux amis-es quand l’un-ne a réussi économiquement, socialement, intellectuellement, pour l’autre, toutes les occasions sont bonnes pour essayer de vendre une image plus terne de celui ou celle qui a réussi.

Influence des Réseaux Sociaux

Les réseaux sociaux amplifient le phénomène de comparaison sociale en exposant constamment les individus aux moments forts et aux réussites des autres. Cela peut exacerber les sentiments d’inadéquation et d’envie, et créer une image déformée de la réalité.

Haine et jalousie en Haïti

En Haïti, hier et surtout aujourd’hui, on assiste à un effritement des valeurs et une fracture sociale.

La dégradation des mœurs et les comportements antisociaux se vivent au quotidien. Les antivaleurs s’incrustent dans notre société à un point tel qu’elles tendent à s’ériger en valeurs.

Pour Maximé (2011), en analysant les faits qui ponctuent le quotidien haïtien, on retient que la haine et la jalousie tendent à remplacer les nobles valeurs qui nous ont conduits à l’indépendance. S’il faut employer un langage cher aux sciences informatiques, la haine est devenue une tendance par défaut. Autrement dit, la haine vient naturellement quand nous ne plaçons pas une autre commande au subconscient.[6]

Cela se manifeste de plusieurs manières. L’essentiel c’est de ternir coûte que coûte l’image de celui ou celle qui brille à un moment déterminé. On peut réveiller des évènements enfouis dans les profondeurs du temps pourvu que cela puisse servir au dénigrement ou à la détraction. Il faut ramener l’autre à ses petites dimensions pour en être content.

Cela fait penser au psychiatre Haïtien Legrand Bijoux qui a consacré un petit bouquin à l’étude de nos travers, des mœurs qui blessent un pays (Haïti). Il a mis l’accent entre autres sur le fantasme de la puissance et la propension au dénigrement. Il a développé le complexe du marsouin qui serait un problème psychologique de celui ou celle qui se met à parler avec frénésie sur des sujets aptes à ternir l’image de quelqu’un.

Le complexe du marsouin porte le sujet qui en souffre à dénigrer et à avilir tout objet valable, tout acte digne d’éloges et toute personne méritoire.

Pour Legrand Bijoux (2002), même les compliments servent le plus souvent d’introduction à la dévalorisation. La séquence des conversations prend trop souvent l’allure suivante :

          « Elle est bien habillée, mais… »

          « Ils ont de beaux enfants, mais… »

« Chez nous, celui ou celle qui reçoit une citation publique pour un acte méritoire (prix, décoration, diplôme, compliments, etc.) est exposé (e) systématiquement aux attaques plus ou moins féroces venant principalement de gens qui lui sont les plus proches. La vedette du jour est examinée de la tête aux pieds par les envieux qui ne ratent guère l’occasion de dénigrer qui la coiffure, qui le maquillage, qui le costume, qui les chaussures, qui la démarche, etc. ; les plus méchants profitent de l’occasion pour « faire sortir les vieux cadavres des placards » (met kèk kakachat deyò) ».[7]

L’opinion de l’ancien Bâtonnier Sténio Vincent n’est pas trop loin du psychiatre Legrand Bijoux.

« Tous ceux qui ont réussi ou qui donnent l’impression d’une réussite professionnelle, économique et sociale, doivent s’attendre à être victimes du poison de l’hypocrisie, de la médisance, de l’injure imbécile, du poison de l’envie sournoise ou de la haine grossière.

Les ennemis sont de génération spontanée, on en a toujours. Les pires ennemis sont parfois vos proches ou ceux qui vous connaissent mieux.  « On retrouve toujours des adversaires envieux ou méchants, plus tard et plus loin, à d’autres étapes de la vie et tandis qu’ils sont encore là à se repaitre des vieilles animosités, la caravane passe, sans même qu’ils aient le temps ou la force d’aboyer de nouveau… »[8]

Dans ce pays […], il n’y a pas un homme public, ayant acquis une certaine notoriété, qui ait échappé à l’esprit de pique et de jalousie, qui n’ait été touché, chacun à son heure, par la mauvaise presse […] S’il ne l’a pas été hier, s’il ne l’est pas aujourd’hui, il le sera sûrement demain ».

Les manifestations de la jalousie et la haine selon Jacques Roumain

À travers un bref résumé de Gouverneurs de la rosée de Jacques Roumain, on comprend que l’Haïtien du 20e siècle n’est pas tout à fait différent de celui du 21e siècle. Les deux ont en commun la haine et la jalousie.

Face à un pays, misérable, déboisé, la terre s’en va, la sécheresse s’installe. Avec la misère, a surgi la haine. Manuel ne se résigne pas à voir son pays mourir et s’enfoncer dans la discorde. Il fouille les « mornes » à la recherche d’une source. Manuel trouvera la source, mais pour amener l’eau dans la plaine, on a besoin de tous les bras.

Il va travailler à la réconciliation de deux clans ennemis. Ce qui n’a jamais été possible. L’ingratitude, la jalousie, la haine, la menace et la méchanceté ont eu gain de cause. La réconciliation ne sera scellée que sur le cercueil de Manuel, qui meurt assassiné lâchement.

Conclusion

Ces considérations et récits montrent comment la jalousie peut détruire des relations familiales et amicales, voire mener à des actes irréparables. Ils servent également de leçons sur les dangers de laisser ces émotions négatives prendre le dessus.

Il faut donc développer un art de vivre basé sur le respect de soi et des autres, les règles élémentaires de la vie en société, l’harmonie, la solidarité et les valeurs de la morale chrétienne que sont, entre autres, l’amour du prochain et la paix entre les hommes.

Chacun devrait faire l’effort de prendre conscience de certains faits :

  • Personne n’est responsable des doutes que l’on a sur soi-même.
  • Les doutes sur soi-même peuvent amplifier les sentiments d’envie et de jalousie.
  • Les relations conflictuelles ou des expériences passées peuvent laisser des traces et favoriser l’apparition de ces émotions.

L’envie, la jalousie et la haine peuvent avoir des conséquences néfastes sur les relations interpersonnelles, la santé mentale et le bien-être général. Elles peuvent conduire à :

  • Des comportements destructeurs : tendance à dénigrer les autres, à saboter leurs succès ou à chercher à les nuire.
  • Des difficultés relationnelles : Isolement social, conflits, rupture des liens amicaux ou amoureux.
  • Etc.

Pour gérer l’envie et la jalousie, ilexiste plusieurs stratégies :

  • Identifier les situations qui déclenchent l’envie ou la jalousie est une première étape importante.
  • Développer une estime de soi positive,se concentrer sur ses propres qualités et réussites peut aider à relativiser les succès des autres.
  • Se concentrer sur soi-même afin de continuer à avancer dans la vie peut largement aider.

Les personnes négatives ont besoin de drame comme oxygène, il faut rester positif pour leur couper le souffle. Si on s’attache au comportement négatif des autres, cela ramène à leur niveau. Tout compte fait, Pour un monde meilleur, à des actes caractérisés de haine et de jalousie, il faut répondre par des énergies positives, il faut répondre par la cordialité, la bienveillance et la fraternité.

Bibliographie sélective

Dr. Legrand, B. Des Mœurs qui blessent un pays (Haïti), Media Texte, P-au-P, Haïti 1997

Maximé, J.M. Les valeurs dans la société haïtienne entre crise et inexistence. Imprimerie Henri Deschamps Port-au-Prince, Haïti 2011.

Mey-Guillard, C.D. Éduquer au vivre ensemble. Chronique Sociale, Lyon, France 2014.

Morin, E. La Méthode, 2. La vie de la vie. Paris, France : Éditions du Seuil 1980

Sténio V. Paroles d’un Bâtonnier, Éditions de l’Arbre, 1946

Klein, M. 1927. Développement de la psychanalyse, Paris, puf 1966

Vanni, D. La jalousie, caractéristiques psychologiques, sd. 2023

Webographie

Auteurs et documents consultés

Caroline Michel, Elle Psycho-sexo, Jalousie en amitié, comment l’apaiser pour une relation heureuse ? Adresse URL : https://www.elle.fr/Love-Sexe/Psycho/Jalousie-en-amitie-comment-l-apaiser-pour-une-relation-heureuse-3944769

Christiane Joubert, envie et jalousie en famille, CAIRN INFO, Sciences humaines et sociales, 2006, adresse URL : https://shs.cairn.info/revue-lettre-de-l-enfance-et-de-l-adolescence-2005-4-page-71?lang=fr https://doi.org/10.3917/lett.062.76

Klein, M. 1927. Développement de la psychanalyse, Paris, puf (1966).

Unobravo, Adresse URL : https://www.unobravo.com/fr/blog/jalousie,

Vanni Dana (2023), La jalousie, caractéristiques psychologiques,


[1] Ariane Hébert, la jalousie entre fratrie, Boite@psy, adresse URL: https://boiteapsy.com/la-jalousie-entre-fratrie/, consulté en ligne le 11 janvier 2025.

[2] Christiane Joubert, envie et jalousie en famille, CAIRN INFO, Sciences humaines et sociales, 2006, adresse URL: https://shs.cairn.info/revue-lettre-de-l-enfance-et-de-l-adolescence-2005-4-page-71?lang=fr https://doi.org/10.3917/lett.062.76

[3] Klein, M. 1927. Développement de la psychanalyse, Paris, puf (1966).

[4] Vanni Dana (2023), La jalousie, caractéristiques psychologiques.

Unobravo, Adresse URL : https://www.unobravo.com/fr/blog/jalousie, consulté en ligne le 11 janvier 2025

[5] Caroline Michel, Elle Psycho-sexo, Jalousie en amitié, comment l’apaiser pour une relation heureuse ? Adresse URL : https://www.elle.fr/Love-Sexe/Psycho/Jalousie-en-amitie-comment-l-apaiser-pour-une-relation-heureuse-3944769

[6] Jean Miguelite Maximé, Les valeurs dans la société haïtienne entre crise et inexistence, Ed. H. Deschamps, 2011, Port-au-Prince, Haïti, p. 70

[7] Dr Legrand Bijoux, Les moeurs qui blessent un pays p. 33

[8] Sténio Vincent, Paroles d’un bâtonnier, p. 121.

Leave a Reply